Ils marchent main dans la main
Depuis de longues années
Ils arpentent les mêmes chemins
Sans jamais se lasser
Ils se connaissent par cœur ou presque
Ils n'ont plus de secrets
Leur vie est une fresque
Une longue épopée
Ces deux-là ont eu du bol
Ces deux-là se sont trouvés
Is ont les mêmes rires
Ils ont les mêmes rides
Ils ont les mêmes souvenirs
Ils ont les mêmes fluides
Ils ont les mêmes blessures
Ils ont les mêmes larmes
Ils ont les mêmes fêlures
Ils ont les mêmes alarmes
Ces deux-là ont eu du bol
Ces deux-là se sont trouvés
Ils se comprennent, ils se soutiennent,
Surtout ils se complètent
Chacun sa place sur le tandem
Et la tendresse avec
Et je crois que l'grand barbu
Ferait bien de comprendre
Qu'à l'heure du dernier salut
Faut prendre les deux ensemble
Ces deux-là ont eu du bol
Ces deux-là, faut pas les séparer
Ces deux-là ont eu du bol
Ces deux-là se sont trouvés
Si j'ose dire, quésaco ?
Bonjour! Vous trouverez ici les textes de chansons dont j'ai également écrit les musiques (ici, chaîne YouTube). Si elles vous inspirent, n'hésitez pas à vous manifester, Si j'ose dire est potentiellement un projet collectif. A bientôt peut-être! Laurent
lundi 31 août 2015
mercredi 19 août 2015
Jamais tranquille
On rêve d'une place au paradis
Sous le soleil exactement
On rêve d'une vie sans soucis
Sans risques et sans emmerdements
On rêve le jour, on rêve la nuit,
On rêve toujours énormément
Mais, de miracles en insomnies,
La paix ne dure qu'un court instant
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais peinard
Y'a que la mort qui soit docile
Et même ça, c'est encore à voir
On ne sera jamais tranquille
On rêve d'une vie comme dans la pub
Pas besoin d'imagination
On rêve d'une vie en majuscules
Sans bien sur débourser un rond
On s'verrait bien sur la croisette
Comment t'es carrément trop belle
Mais derrière les photos d'la fête
Tu peux être sur qu'y'a les poubelles
On ne sera jamais tranquille
Oublie un peu tes rêves
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
On n'y est pas si mal
Oublie un peu tes rêves
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
L'idéal, ça fait mal
On rêve d'une vie où rien n'accroche
D'une vie enfin où tout est clair
Mais une rafale de doubles-croches
Nous remet vite les pieds sur terre
On rêve d'une vie sans anicroches
Mais ça n'existe pas, mon(a)cher(e)
Et comme dit le sage philosophe
Le bonheur, c'est d'avoir souffert
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais peinard
Y'a que la mort qui soit docile
Et même ça, c'est encore à voir
On ne sera jamais tranquille
Oublie un peu tes rêves
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
On n'y est pas si mal
Reviens un peu sur terre
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
L'idéal, ça fait mal
Sous le soleil exactement
On rêve d'une vie sans soucis
Sans risques et sans emmerdements
On rêve le jour, on rêve la nuit,
On rêve toujours énormément
Mais, de miracles en insomnies,
La paix ne dure qu'un court instant
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais peinard
Y'a que la mort qui soit docile
Et même ça, c'est encore à voir
On ne sera jamais tranquille
On rêve d'une vie comme dans la pub
Pas besoin d'imagination
On rêve d'une vie en majuscules
Sans bien sur débourser un rond
On s'verrait bien sur la croisette
Comment t'es carrément trop belle
Mais derrière les photos d'la fête
Tu peux être sur qu'y'a les poubelles
On ne sera jamais tranquille
Oublie un peu tes rêves
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
On n'y est pas si mal
Oublie un peu tes rêves
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
L'idéal, ça fait mal
On rêve d'une vie où rien n'accroche
D'une vie enfin où tout est clair
Mais une rafale de doubles-croches
Nous remet vite les pieds sur terre
On rêve d'une vie sans anicroches
Mais ça n'existe pas, mon(a)cher(e)
Et comme dit le sage philosophe
Le bonheur, c'est d'avoir souffert
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais tranquille
On ne sera jamais peinard
Y'a que la mort qui soit docile
Et même ça, c'est encore à voir
On ne sera jamais tranquille
Oublie un peu tes rêves
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
On n'y est pas si mal
Reviens un peu sur terre
Ce sont autant de pièges
Reviens un peu sur terre
L'idéal, ça fait mal
jeudi 6 août 2015
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
S'amusent beaucoup à nous faire peur la nuit
Ils ont des chaines et ils se cachent dans les rideaux
Pour nous faire sursauter quand on va faire pipi
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Dansent la salsa quand on est endormis
Mais quand nous prend l'envie de jouer les héros
Ils se proposent pour partager nos insomnies
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Jouent à cache-cache avec nos réflexions
Et quand on a tout compris, comme un robot,
Ils nous rappellent qu'il faut faire quand même attention
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Sont de braves types quand on les connaît mieux
Et bien souvent, à l'heure de l'apéro,
Ils s'invitent à not' table avec un petit creux
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Sont même parfois comme qui dirait pompettes
Et s'il leur prend l'envie de jouer du couteau
Renvoyez-les alors direction oubliettes
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Ont le lendemain un p'tit peu mal aux ch'veux
Et au moment de publier leur édito
Ils se sentent quand même un peu beaucoup honteux
Mais les fantômes qui se promènent qui se promènent dans nos cerveaux
Peuvent arguer d'une enfance difficile
Pleine de drames, de sang et de bourreaux,
Puisque l'existence est quand même un peu débile
S'amusent beaucoup à nous faire peur la nuit
Ils ont des chaines et ils se cachent dans les rideaux
Pour nous faire sursauter quand on va faire pipi
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Dansent la salsa quand on est endormis
Mais quand nous prend l'envie de jouer les héros
Ils se proposent pour partager nos insomnies
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Jouent à cache-cache avec nos réflexions
Et quand on a tout compris, comme un robot,
Ils nous rappellent qu'il faut faire quand même attention
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Sont de braves types quand on les connaît mieux
Et bien souvent, à l'heure de l'apéro,
Ils s'invitent à not' table avec un petit creux
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Sont même parfois comme qui dirait pompettes
Et s'il leur prend l'envie de jouer du couteau
Renvoyez-les alors direction oubliettes
Les fantômes qui se promènent dans nos cerveaux
Ont le lendemain un p'tit peu mal aux ch'veux
Et au moment de publier leur édito
Ils se sentent quand même un peu beaucoup honteux
Mais les fantômes qui se promènent qui se promènent dans nos cerveaux
Peuvent arguer d'une enfance difficile
Pleine de drames, de sang et de bourreaux,
Puisque l'existence est quand même un peu débile
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